samedi 24 mars 2012

Black Eyed Love.


" For beautiful eyes, look for the good in others ; for beautiful lips, speak only words of kindness ; 
and for poise, walk with the knowledge that you are never alone. "
– Audrey Hepburn

mardi 20 mars 2012

1391 Baby ! =D

EYD OMADE, BAHARE ... 



Sale noe hameye shoma, dooostaye azizam mobarak.
 Omidvaram sale khooobi dar kenare khanevade va doostanetoon dashte bashin ♥

Saretoon salamat, tanetoon salem, nafasatoon garm, 
labatoon khandan, deletoon shad o jibatoon por bashe :X :



HAPPY NOROUZ 1391 ! ♥
 

lundi 27 février 2012

Oscar 2012 : L'Iran triomphe avec une Séparation


Avec l'énorme succès du film français The Artist, on aurait presque tendance à oublier qu'un autre film a largement brillé tout au long de cette saison des récompenses. Il s'agit du film iranien Une Séparation, qui, après avoir décroché un Ours d'or à Berlin, a été distingué à multiples reprises et dans divers pays, en tant que meilleur film étranger et présenté par les médias officiels comme un hommage à la "culture et la civilisation iranienne unique". Son parcours s'achève en beauté en décrochant l'Oscar dimanche soir à Hollywood !


Ce fut donc dans le cadre du Festival de Berlin, en février 2011, que le film iranien Une Séparation avait commencé à attirer la lumière sur lui en décrochant la plus haute distinction, l'Ours d'Or. C'est par la suite la sortie en salles qui a été décisive et le film aura incontestablement profité d'un excellent bouche-à-oreille, en tout cas en France, où le film a enregistré près de 400 000 entrées, distribué principalement dans un réseau de cinémas indépendants, hors multiplexes et grosses enseignes. Pas mal! Une Séparation a fait mouche pour différentes raisons. Sa forme d'abord est intéressante car il même judicieusement une trame pleine de tension qui s'apparente à un véritable thriller avec un suspense bien présent, et des éléments purement dramatiques.

En effet, dans le film, Nader et Simin, des iraniens cultivés et financièrement aisés, se séparent. Elle veut quitter l'Iran, lui souhaite rester, c'est la principale raison de leur discorde, qui sous tend cependant que la femme refuse de se soumettre à la volonté de son mari. La situation est complexe, ils veulent tous deux la garde de leur fille unique, et le père en fin de vie de Nader est pris en charge dans l'appartement familial, où Simin s'occupait beaucoup de lui. Lorsque Simin quitte le domicile pour prendre du recul chez ses parents, Nader se met en quête d'une aide à domicile. Il fait alors appel à une jeune femme mariée, Razieh, dont la famille est dans le besoin alors que son mari est au chômage. Evoluant dans un milieu et l'argent se fait rare et où la religion régit absolument tout, elle accepte ce travail, chez un homme, pour s'occuper d'un homme, sans le consentement de son époux, psychologiquement fragile. Un drame va survenir qui va confronter les deux familles, culturellement étrangères l'une à l'autre. La séparation est celle du couple, mais aussi celle d'une société.

L'interprétation est remarquable et la montée en tension très efficace dans ce film qui nous fait également découvrir deux Iran très différents. Les thèmes abordés sont riches et nombreux, depuis la toute puissance de la religion, l'hypocrisie, la maladie, l'amour. Film politique ou simple drame humain, il est bien difficile de répondre à cette question alors que le réalisateur lui-même, Asghar Farhadi, a souhaité que son film davantage de questions qu'il ne donne de réponses. Cependant, si le personnage de la fille de Simin et Nader est très présent, et si le film s'ouvre et se ferme sur elle, c'est parce que la question la plus importante posée par le réalisateur est la suivante : un enfant iranien a plus d’avenir dans son pays ou à l’étranger ? Si vous n'avez pas encore découvert ce film, nous vous le recommandons chaleureusement. Les institutions internationales du cinéma ne s'y sont pas trompées, le film a reçu les prix de meilleur film étranger dans le cadre des Golden Globes, des Oscars, des Césars, des BAFTA, et des Spirit Award. 

Les médias officiels ont eux aussi insisté sur le succès que cette distinction représentait pour l'Iran. Asghar Farhadi a souligné dans son discours de réception la caractère unique de la culture et de la civilisation iraniennes", a mis en avant la télévision d'Etat. Il ajoute que "Les Iraniens sont heureux (…) de voir que leur pays, l'Iran, est évoqué ici pour sa glorieuse culture, son ancienne et riche culture qui a été cachée sous la poussière épaisse de la politique". "Le cinéma iranien fait l'histoire", titrait l'agence officielle Irna, tandis que l'agence Isna affirmait : "Le drapeau iranien flotte sur les Etats-Unis". Le directeur de l'Organisation du cinéma au ministère de la Culture et de l'orientation islamique, Ali Reza Sajadpour, s'est réjoui que "le contexte politique n'ait pas eu d'effet" sur le vote. Il a félicité le réalisateur et assuré que son succès était "celui du cinéma iranien".

"Une Séparation" a toutefois failli ne pas voir le jour, le tournage ayant été suspendu une dizaine de jours à l'automne 2010 par les autorités qui ont exigé des excuses d'Asghar Farhadi après ses interventions en faveur de cinéastes emprisonnés ou mis à l'index pour leur hostilité supposée au régime islamique. Les autorités n'ont finalement apporté leur soutien au film qu'après son immense succès tant en Iran (cinq récompenses au festival Fajr de Téhéran en 2012) qu'à l'étranger (Ours d'or à Berlin, Golden Globe du meilleur film étranger). 
Un verdict sans appel!

mercredi 22 février 2012

Rouge automatique de Guerlain

En novembre dernier, mes parents sont partis en Turquie pour quelques jours de vacances. Comme d'habitude et pour mon plus grand plaisir, ils sont passés par le duty free de l'aéroport et m'ont acheté un rouge à lèvre de la gamme Rouge Automatique de Guerlain, le #166 - Shalimar .

J'avoue ne pas avoir été spécialement emballée par la teinte que ma Maman m'a choisi, et pour cause il est resté dans son emballage deux petits mois. J'ai l'habitude de porter du rouge mais tout compte fait, avec le temps, j'ai finit par m'habituer à ce rose chatoyant.



Shalimar est un rose flash brillant avec de subtiles micro-reflets roses et dorés. Il est très pigmenté et plutôt opaque sur les lèvres avec une finition glossy. Il glisse comme un baume sur les lèvres mais ne coule pas et tient volontier entre 4 et 5 heures sans bouger.



La texture de ce ral est crémeuse sans être épaisse pour autant, elle est légère, agréable et très hydratante. Mais ce rouge à lèvre présente tout de mêmes quelques inconvéniants. Il faut compter minimum deux couches pour avoir un rendu homogène et pour retrouver la couleur du tube sur les lèvres. 
Aussi, la base bleutée de Shalimar peut être un plus comme un moins. Contrairement aux bases orangées, une base bleue dans un rouge à lèvre n'a pas tendance à accentuer les dents jaunes ; Elle les fait paraitre plus blanches mais n'a pas le même effet en fonction du teint, ce qui est dommage.


Mais la réelle innovation, c'est le packaging! Encore une fois, Guerlain nous appâte avec cet écrin doré moderne et précieux. Le Rouge Automatique de Guerlain est le premier lipstick qui se manipule d'une seule main. Inspiré par le rouge à lèvres de Gurelain de 1936, il s'ouvre en un seul geste et fait clic clac pour une application rapide et intuitive.




La gamme est composée de 25 couleurs toutes plus lumineuses les unes que les autres, se déclinant aisni entre les beiges, les rouges, les oranges et les roses. Et chaque teinte porte le nom d'un des parfums de la maison Guerlain.





vendredi 17 février 2012

Adele sublime en couverture de Vogue !

" I love food and hate exercise. I don't have time to work out... I don't want to be on the cover of Vogue or Playboy. I want to be on the cover of Rolling Stone or Q. I'm not a trend-setter... I'm a singer... I'd rather weigh a ton and make an amazing album then look like Nicole Richie and do a shit album. My aim in life is never to be skinny. " - Adele.
Et pourtant...
Adele est l’artiste à suivre. A 23 ans, la jolie miss tout en courbes tutoie les charts depuis de longs mois avec son album baptisé 21Forte de ce succès, elle se voit aujourd’hui courtiser par la planète mode et apparaît en couverture du prestigieux magazine Vogue pour le mois de mars.

Si 2011 a été une année exceptionnelle selon la chanteuse, 2012 s’annonce sous de bons auspices. Alors qu’Adele a tout raflé lors de la cérémonie des Grammy Awards, dans les catégories dans lesquelles elle était nommée –dont le meilleur album et la meilleure chanson, la Britannique poursuit son ascension mode en posant en Une du magazine Vogue US, une véritable consécration pour l’attachante jeune femme à l’accent cockney. On la découvre en diva néo-rétro, avec une crinière parfaitement brushée et volumineuse au possible, un regard de braise laissant paraitre ses grands yeux bleus ourlés d'un généreux trait d'eyeliner et un teint porceleine.


Shootée par le duo de photographes stars, Mert & Marcus, Adele nous réserve des clichés où sa sensualité à fleur de peau explose littéralement. Bouche gourmande, point de vue explicite sur son décolleté, gros plans sur son visage d’ange, les photographes ont réussi à saisir l’essence de la jeune femme, sa force, sa fragilité, sa beauté. Même si Karl Lagerfeld avait ouvertement critiqué les rondeurs de la demoiselle –lui qui ne jure que par les silhouettes androgynes à la Freja Beha-, Adele ne s'était pas démontée face aux propos goujats du Kaiser, s’assumant en porte-parole de la féminité plus généralement.

Vogue, bien connue pour faire poser des muses en Une de son magazine, après s'être octroyé les faveurs d'une Lana Del Rey, porte au pinacle une Adele au sommet de sa gloire.